SNPEFP CGT Communiqués

 Destruction des écoles de la 2ème chance (77-78-95) !

 

Dans un premier communiqué, les salarié.s du HUB de la réussite (des Ecoles de la 2ème chance des 77-78-95) dénonçaient la casse de leur outil de travail ainsi que celle de la Mission Locale Nord Val d’Oise.

Dans ce deuxième communiqué, ces mêmes salarié.es expriment leur désarroi et leur colère, suite à la décision, le 23 janvier 2024, du tribunal judiciaire de Pontoise de mettre la clé sous la porte du HUB de la Réussite.

Au delà de la situation des personnels, il faut s’interroger sur l’avenir des jeunes pris.es en charge par cette structure. La mission d’orientation et de prise en charge de jeunes en décrochage scolaire mérite mieux que cette gestion crapuleuse.

Arrêt de la casse des E2C 77-78-95, de la Mission Locale, Nord Val d’Oise et des Smarts Démission du président du HUB de la réussite, Monsieur Chkroun

Les salariés du HUB de la réussite (des Ecoles de la 2ème chance des 77-78-95) dénoncent la casse de leur outil de travail ainsi que celle de la Mission Locale Nord Val d’Oise :

• Réduction des effectifs, mais pour les mêmes objectifs
• Baisse constante des moyens alloués à l’activité, mais pour les mêmes objectifs
• Menaces sur la qualité de l’accompagnement.

Ils dénoncent la mauvaise gestion du président de l’association HUB de la Réussite, Monsieur Chkroun.
Le train de vie de la direction de l’association est démesuré pour le secteur de l’insertion.

En quatre ans, quatre directeurs généraux se sont succédé (dont M. CHKROUN durant 1 an en intérim). Elle n’a, pendant cette période, jamais été à l’équilibre et accuse aujourd’hui plus de 2 millions de pertes cumulées.
Comment le président peut-il prétendre ne pas en être responsable ?

Les salariés s’interrogent sur le réel engagement de leur président, par ailleurs conseiller régional. L’association semble être un tremplin pour ses ambitions politiques au dépend des salariés et des bénéficiaires
Les salariés s’inquiètent sur de possibles conflits d’intérêts .

Pour faire entendre leurs craintes et revendications, ils appellent à un rassemblent jeudi 16 novembre à 10H30 devant le Conseil Régional et demandent à être reçus par la présidente de la Région, Valérie Pécresse.